samedi 14 novembre 2015

Passy-les-Tours et Galerie Saint-Cyr

Le château de Passy-les-Tours est situé à Varennes-lès-Narcy dans la Nièvre. Le château de Passy-les-Tours fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 28 juin 1927.
Édifié sur un plan barlong d'environ 50 m de côté flanqué aux angles de quatre tours rondes, le château, construit à la fin du XIVe siècle par Jean de Chevenon, alors conseiller de Charles VI de France, était pourvu d'un donjon de 25 m de hauteur qui dominait la voûte d'entrée.
Son architecture est inspirée du château de Vincennes et ses tours imposantes donnent leur nom au village.
Pendant la guerre de Cent Ans, à partir de 1422, il est occupé par le capitaine Perrinet Gressard qui tint tête à Jeanne d'Arc lors du siège de La Charité-sur-Loire en 1429.
Très endommagé par les guerres de religion, le château devient en 1782, la propriété du marquis de Vergennes, homme politique et diplomate, qui ne le restaure pas plus que ne le feront ses propriétaires successifs. Au contraire, ses pierres seront utilisées pour d'autres constructions.
Les ruines de Passy-les-Tours
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Association déclarée, a débuté son activité en juillet 1994.
Le siège social de cette entreprise est actuellement situé 18 rue de la Cathédrale - 58000 Nevers
L'association évolue sur le secteur des activités des organisations associatives.
Forme juridique : Association déclarée le 01/07/1994
SIREN 397 665 308
SIRET 397 665 308 00011
Code APE / NAF 9499Z / Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire
Responsable : Maurice BARDIN
ASSOCIATION GALERIE SAINT-CYR
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vendredi 13 novembre 2015

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Pougues-les-Eaux - Le Centre d''art contemporain avec sa Gentilhommière :
http://verat.pagesperso-orange.fr/la_peinture/kant14.htm
Implanté dans l’ancienne station thermale de Pougues-les-Eaux, le Centre d’Art Contemporain du Parc Saint-Léger fait partie d’un réseau national labellisé par le Ministère de la Culture, qui compte une quarantaine de centre répartis sur tout le territoire français.
Ces Centres ont reçu pour mission de soutenir et promouvoir la création d’œuvres contemporaines, d’accueillir des artistes en résidence, et aussi de favoriser une diffusion auprès d'un certain public.
Réhabilités en 1998 pour accueillir le Centre d’Art, les locaux dont l'usine d'embouteillage des Eaux de Pougues, datant du 19ème siècle, présentent aujourd'hui une surface d’exposition de 460m² répartie sur deux niveaux, des bureaux et des logements pour les artistes.


Nous sommes en 1925, la marine de Loire a rendu l'âme. Le chemin de fer a eu la peau des piliers de barre, des grandes gueules et des vilains garçons. Les bateaux moisissent à quai, il n'y a plus de belles voiles carrées sur le fleuve. Pourtant ici, on s'agite sur le plan d'eau devant le pont. Un drôle de bateau, sans rame ni voile remonte le courant pour s'envoler juste avant le passage du pont.
C'est un hydravion. Le ministère de la Marine a jeté son dévolu sur la Charité pour en faire un aéroport. Un petit gars du pays travaille au ministère, on n'est jamais aussi bien servi que par les siens. L'idée fait son chemin. Le pays a besoin d'une base avant Paris. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, le rejeton de la cité nivernaise posa son dévolu à deux pas du prieuré clunisien. Bientôt la ville s'équipe d'une infrastructure convenable pour acquérir le trafic.
De 1925 à 1939, les « aloirisages » se multiplièrent sur le plan d'eau entre la rive et le Dhuy. S'il n'y eu de répertoriés que 94 mouvements d'appareils de ligne, ce sont les vols de démonstration, les baptêmes de l'air et les meetings aériens qui firent l'essentiel d'une activité très significative et fort juteuse pour certains. De toute la région, les gens se pressaient pour s'offrir une petite virée sur la Loire et dans les cieux.
Pour nourrir les hydravions, il fallait des bidons de gazoline et d'huile de ricin pour que la flottille prenne l'air et possède de quoi revenir au port. Les bidons de deux cents litres faisaient rarement la maille. Comme autrefois pour le fer, ils étaient remplis à l'estime, Il y avait souvent tromperie de cinq à dix litres, ce qui est toujours fâcheux ! Sur l'huile de ricin, la part des anges prenait une bien moindre proportion car ceux-ci ne faisaient que deux litres.
Cf/ La Camosine n°96


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